mercredi 6 mai 2015

La fin du cours

Le cours de technologies de l'information et de la communication (TIC) arrive à sa fin.

Après ces derniers mois, je peut affirmer que j'ai beaucoup appris de ce cours. Je me suis rendue compte que les services aux étudiants handicapés avaient été la source de beaucoup de débat et de dilem dans le milieu scolaire mais que finalement ces services avaient beaucoup changé aux cours des dernières années.
De façon générale, l'opinion québécoise semble encore être en débat sur l'utilisation des nouvelles technologie en classe, et durant cette dernière année les médias ont publié plusieurs articles qui témoignent de ce conflit d'opinion tel que le Devoir, la Gazette, le journal de montreal et la Presse.
En tant qu'étudiante à l'université dans le BAC d'enseignement spécialisé en adaptation scolaire je me sens à l'aise de dire qu'une formation sur l'utilisation des TICs en classe est bienvenue. Cela fait plusieurs année que le système scolaire québécois intègre non seulement les laboratoires informatiques, les ordinateurs portables et les outils numériques en classe et je pense sincèrement qu'il serait très difficile de tirer le plus grand profit de ces ressources sans avoir eu préalablement un minimum d'informations sur leur utilisation et leurs buts pédagogiques.
Les témoignages recueillis en classe à propos des élèves en difficulté ont beaucoup changé ma façon de voir les TICs, mais je pense que pour beaucoup de mes collègues ce sont les exercices et les applications pratiques au cas par cas de situations précises qui nous a donné le plus de motivation à en apprendre plus sur ces technologies.
En effet, ce cours m'a permis de recueillir une liste très précise des différents logiciels et leur applications possible pour les différents problèmes que peuvent avoir les élèves en adaptation scolaire : les logiciels informatiques peuvent servir de dictionnaires numériques, d'idéateur ou d'organisateur d'idée, de correcteur pour les élèves dysorthographiques, de synthèse vocale ou de prédiction de mots et même à la reconnaissance graphique de caractères.
Il est vrai que ce genre de ressources ne sont pas nécéssaires pour tout les élèves, mais pour ce qui est de ma future clientèle je n'ai plus de doute que les TICs peuvent être d'un grand soutien pour les élèves ayant des difficultés incontrôlable tel qu'une défficence motrice, organique, neurologique, intellectuelle ou autre.
Lorsque j'utiliserais les TICs avec ces élèves, j'espère faire une différence dans leur parcours scolaire afin qu'ils soient en mesure d'apprendre et de devenir des membres productifs de notre société et surtout qu'ils se sentent valorisé et capable de dévellopper leur plein potentiel sans subir le fardeau d'un handicap.

Clara Jutras